jueves, 28 de noviembre de 2013
Peru atractivo para inversiones
http://www.laprensasa.com/309_america-in-english/2296107_visa-changes-will-not-cause-stampede-into-europe-peruvian-fm-says.html
viernes, 22 de noviembre de 2013
Agencias reguladoras de medicamentos en America Latina segun la OPS
Autoridades reguladoras de medicamentos
Una de las funciones del mandato constitucional de la OMS es
“desarrollar, establecer y promover normas internacionales con respecto a
productos alimenticios, biológicos, farmacéuticos y similares”[3],
y en este aspecto apoya a los Estados Miembros en la implementación de sus
políticas de medicamentos y programas nacionales, y específicamente provee
“orientación y apoyo para establecer mecanismos reguladores eficaces de
medicamentos nacionales, para asegurar que los medicamentos disponibles son de
buena calidad y para luchar contra medicamentos falsificados”.
Sin embargo, según la OMS, son los propios Estados los
responsables de establecer Autoridades Nacionales Reguladoras de medicamentos
(ARN). Estos organismos deben ser capaces de rendir cuenta tanto al gobierno
como a la ciudadanía de su actividad, recibiendo el apoyo de la Organización a
través de la evaluación de sus sistemas regulatorios de medicamentos, recomendaciones,
apoyo técnico, oportunidades de capacitación, orientación para el diseño de
sitios en Internet, y cooperación para la armonización y estandarización de
normas.
La evaluación se realiza a través del instrumento de la OMS denominado “Data
Collection Tool for the Review of Drug Regulatory Systems”, que permite en base a parámetros
estandarizados una revisión de la autoridad regulatoria, identificando sus
brechas y avances estratégicos y las posibles demandas de apoyo.
De acuerdo a la Organización
Panamericana de la Salud (OPS), Oficina Regional para las Américas de la OMS, en
el caso de los países desarrollados las funciones de regulación pueden llevarse a
cabo debido a la experiencia adquirida en múltiples fases, el desarrollo y sofisticación de su sector
farmacéutico, y la disponibilidad de recursos humanos calificados y
financiamiento e infraestructura adecuada. En el caso los países en desarrollo, en
cambio, las actividades prioritarias están limitadas a la dependencia de los
productos importados, al personal y los recursos disponibles, por lo tanto las
funciones de regulación se van ampliando gradualmente conforme su sector
farmacéutico se desarrolla y los recursos empiezan a ser oportunos.
En América Latina,
la OPS realiza un proceso de evaluación y calificación de las ARN, que se
fundamenta en las recomendaciones de la OMS para el fortalecimiento de estos
organismos. Este mecanismo de calificación certifica el nivel de las
respectivas instituciones nacionales, estableciendo cuatro niveles de
desarrollo, donde el Nivel IV es el que permite designar a la ARN como
Autoridad de Referencia Regional en medicamentos y productos biológicos.
miércoles, 20 de noviembre de 2013
Les entreprises de biotechnologies
La plupart des entreprises européennes spécialisées dans le secteur de la biotechnologie sont des petites ou moyennes entreprises (PME). Comme dans de nombreux autres secteurs, les capacités d'innovation et le dynamisme des PME sont considérables, mais elles ne disposent pas des moyens des entreprises plus grandes et mieux établies.
Une PME européenne de dimension moyenne active dans le secteur de la biotechnologie occupe environ 28 travailleurs après 6 à 10 années d'activité (source: Critical I, 2006), elle est spécialisée en R&D et développement de produits dans un domaine très ciblé. Sa croissance est limitée et elle n'occupe en moyenne que 41 travailleurs après 11 à 15 années d'activité. Indépendamment de leur succès, la croissance de ces nouvelles entreprises reste lente, celles-ci dépendant souvent de sources financières externes pour leurs activités de recherche et de développement (voir définition des PME).
http://www.theguardian.com/society/2013/nov/20/antidepressant-use-rise-world-oecd?commentpage=4
Une PME européenne de dimension moyenne active dans le secteur de la biotechnologie occupe environ 28 travailleurs après 6 à 10 années d'activité (source: Critical I, 2006), elle est spécialisée en R&D et développement de produits dans un domaine très ciblé. Sa croissance est limitée et elle n'occupe en moyenne que 41 travailleurs après 11 à 15 années d'activité. Indépendamment de leur succès, la croissance de ces nouvelles entreprises reste lente, celles-ci dépendant souvent de sources financières externes pour leurs activités de recherche et de développement (voir définition des PME).
http://www.theguardian.com/society/2013/nov/20/antidepressant-use-rise-world-oecd?commentpage=4
One more step towards vaccines´ harmonization in the LatAm region
Mexico and Costa Rica sign cooperation agreement on drugs and vaccines
On the 17th of October 2013, COFEPRIS issued a press release informing on a new agreement of cooperation between the health authorities of Mexico and Costa Rica that will allow the recognition of drug registrations approved by COFEPRIS, by Costa Rica.
Federal Commissioner Mikel Arriola, head of COFEPRIS, remarked that the subscription to this agreement is possible today thanks to the international certification of the Mexican Health Agency as National Regulatory Agency of Regional Reference, awarded last year by the Pan American Health Authorization (PAHO).
This is one of the first steps towards harmonization of drug and vaccine registration in the region, which will promote commerce and enhance collaboration.
This agreement will also allow professionals of COFEPRIS to help the General Direction of Health, HA of Costa Rica, towards the achievement of the PAHO certification. This recognition is awarded after a thorough evaluation of the agencies’ performance of basic functions for ensuring the quality, safety and efficacy of medicines in the country. The assessment is based on recommendations of the World Health Organization (WHO) for strengthening the regulatory bodies.
On the 17th of October 2013, COFEPRIS issued a press release informing on a new agreement of cooperation between the health authorities of Mexico and Costa Rica that will allow the recognition of drug registrations approved by COFEPRIS, by Costa Rica.
Federal Commissioner Mikel Arriola, head of COFEPRIS, remarked that the subscription to this agreement is possible today thanks to the international certification of the Mexican Health Agency as National Regulatory Agency of Regional Reference, awarded last year by the Pan American Health Authorization (PAHO).
This is one of the first steps towards harmonization of drug and vaccine registration in the region, which will promote commerce and enhance collaboration.
This agreement will also allow professionals of COFEPRIS to help the General Direction of Health, HA of Costa Rica, towards the achievement of the PAHO certification. This recognition is awarded after a thorough evaluation of the agencies’ performance of basic functions for ensuring the quality, safety and efficacy of medicines in the country. The assessment is based on recommendations of the World Health Organization (WHO) for strengthening the regulatory bodies.
domingo, 17 de noviembre de 2013
Timothy Geithner Named President of NYC Private Equity Firm Read more: Timothy Geithner Named President of NYC Private Equity Firm | TIME.com http://business.time.com/2013/11/16/timothy-geithner-to-lead-nyc-private-equity-firm/#ixzz2kxrAeCUq
http://business.time.com/2013/11/16/timothy-geithner-to-lead-nyc-private-equity-firm/#comments
Le monde sera plus riche de 40% à l'horizon 2018 par Richard Kersley
Le monde sera plus riche de 40% à
l'horizon 2018
Richard Kersley, responsable
Global Securities Products and Themes, Credit Suisse
Mike O'Sullivan, Chief
Investment Officer, UK & EEMEA, Credit Suisse
15.10.2013
https://www.credit-suisse.com/ch/fr/news-and-expertise/news/economy/global-trends.article.html/article/pwp/news-and-expertise/2013/10/fr/world-will-be-40-percent-richer-by-2018.html
La richesse mondiale devrait
progresser de près de 40% dans les cinq prochaines années pour atteindre 334
000 milliards de dollars US d'ici 2018. Les marchés émergents représenteront
probablement 29% de cette croissance, la Chine comptant pour près de 50% de
l'augmentation de la richesse des économies émergentes. Selon le rapport de
2013 du Credit Suisse sur la richesse mondiale (Global Wealth Report), cette
hausse sera principalement portée par la croissance des richesses dans le
segment médian, mais le nombre de millionnaires devrait également fortement
augmenter d'ici 2013.
La richesse mondiale a atteint un nouveau
record en 2013 et devrait continuer à progresser dans les années à venir. Les
marchés émergents constituent un segment de plus en plus important de
l'économie mondiale et devraient représenter une plus grande part de la
richesse mondiale. En outre, plusieurs économies à hauts revenus de la zone
euro se relèvent à peine d'une récession alors que la dynamique de croissance
dans d'autres pays développés est relativement saine.
Légère accélération de la croissance de la richesse mondiale
Depuis 2000, aux taux de change
USD en vigueur, la croissance mondiale a progressé à un taux annuel de 6,2%,
contre une croissance du PIB nominal de 6,6% selon les prévisions du FMI. Cela
est en partie lié à la baisse des cours des actifs réels et financiers pendant
la crise financière mondiale. Dans les cinq prochaines années, nous pensons que
le taux annuel de croissance de la richesse atteindra 6,6% (+0,4%). Cela
génèrera 93 000 milliards de dollars US de richesse mondiale supplémentaire
d'ici 2018, soit une augmentation de 14 900 dollars US par adulte.
Voir également:
Richesse mondiale: nouveau record
historique
Les Etats-Unis toujours en tête du classement
Les Etats-Unis resteront
incontestablement en première position en termes de richesse cumulée, avec une
fortune nette totale de près de 100 000 milliards de dollars US d'ici 2018. Aux
cours actuels, cela correspond à environ 88 000 milliards de dollars US, soit
une hausse de 23% par rapport à 2013. Le Japon restera probablement le deuxième
pays le plus riche au monde jusqu'à ce que la Chine le rattrape,
vraisemblablement autour de 2016. D'ici 2018, la richesse de la Chine devrait
se rapprocher du niveau de richesse des Etats-Unis en 1993. La zone euro, qui
représente actuellement 24% de la richesse mondiale, verra probablement sa
contribution baisser à 23%. En termes de croissance absolue, la richesse de
cette région augmentera toutefois de plus de 29% dans les cinq prochaines
années, plaçant la zone euro au niveau des Etats-Unis en 2011.
Parmi les marchés émergents, le
Brésil et l'Indonésie sortent du lot. Depuis 2000, la richesse du Brésil a
triplé (soit un taux de croissance annuel de 10,4%) et la fortune nette de
l'Indonésie a été plus que multipliée par six. Si ces rapides taux de
croissance se maintiennent, la richesse cumulée de l'Indonésie atteindra le
niveau des Etats-Unis au début du XXe siècle et la progression du Brésil sera
équivalente à 18 ans aux Etats-Unis. La richesse de l'Inde va également
fortement croître, ce qui, d'un point de vue historique, devrait l'amener du
niveau des Etats-Unis en 1912 au niveau des Etats-Unis quinze ans plus tard (en
1927). Le récent ralentissement de la croissance dans ces pays, ainsi que la
faiblesse de leur monnaie, impliquent des risques significatifs à la baisse
pour ces prévisions.
En tête de liste
En termes de richesse par adulte,
la Suisse, l'Australie et la Norvège devraient rester en tête du classement,
les Etats-Unis demeurant parmi les cinq premiers. De grandes économies
émergentes, comme le Brésil, la Chine, la Russie et l'Afrique du Sud,
pourraient gagner de nombreuses places au classement des richesses en raison
d'une croissance assez nette de leur PIB respectif. Parmi les grandes économies
en développement, la richesse par adulte au Turkménistan et au Chili pourrait
s'approcher des niveaux de certains pays développés comme la Slovénie et Malte.
Une plus grande contribution des marchés émergents à la richesse mondiale
Entre 2000 et 2013, la part des
marchés émergents dans la richesse mondiale a presque doublé, passant de 12% à
21%, soit une augmentation de 0,7% par an. Le rythme de création de richesse
dans les marchés émergents devrait continuer à s'accélérer par rapport aux pays
développés, même si cette différence sera moins marquée dans les cinq
prochaines années. La part de richesse des marchés émergents atteindra
probablement 23% à l'horizon 2018, soit une hausse moyenne de 0,5% par an. Le
taux annuel d'augmentation annoncé est de 9,1% pour les marchés émergents,
contre 6,1% pour les pays développés.
Parmi les grandes économies, la
Chine pourrait être le principal gagnant en termes de croissance relative.
Depuis 2000, la richesse chinoise a progressé de 13,3% par an et devrait continuer
à augmenter à un rythme rapide de 10,1% dans les cinq prochaines années. La
Chine représente 9,2% de la richesse mondiale, avec une hausse prévue à 10,7%.
Les Etats-Unis pèseront moins lourd mais devraient tout de même représenter 29%
de la richesse mondiale en 2018. La richesse va également augmenter rapidement
en Inde, à un taux annuel de 9,3%, légèrement inférieur à la croissance de 9,5%
affichée depuis 2000. Par adulte, la richesse de la Chine va progresser de 12
100 dollars US à 34 400, et celle de l'Inde de 1900 dollars US à 6600.
Les actifs financiers moteurs de croissance des richesses
La progression des richesses sera
liée aux gains réalisés sur les actifs réels et financiers. Les actifs
financiers ont représenté plus de la moitié de la richesse brute ces dix
dernières années, mais l'effondrement des cours pendant la crise financière a
fait baisser leur contribution à la richesse en 2008. Depuis, les actifs
financiers ont fortement rebondi, affichant une hausse de 32% (6,4% par an)
contre une progression de 23% (4,8% par an) pour les actifs réels. Nous pensons
que les actifs financiers vont continuer à afficher de bonnes performances et
prévoyons une hausse de 7,5% par an, contre une progression de 5% par an pour
les actifs réels.
Segment médian
Le segment médian de la pyramide
des richesses (celui des personnes dont le patrimoine est compris entre 10 000
et 100 000 dollars US) devrait représenter 27,4% soit 1,4 milliard d'adultes
d'ici 2018. 89% des 307 millions d'adultes qui intégreront le segment médian
d'ici 2018 viendront d'Asie-Pacifique (y compris de Chine et d'Inde) et 58% de
la Chine seule.
Qui veut gagner des millions?
Le resserrement de l'écart avec
les économies émergentes est également mis en évidence par la présence
croissante de ces dernières dans le segment haut de la répartition de la
richesse mondiale. Nos prévisions suggèrent que le nombre de millionnaires à
l’échelle mondiale pourrait dépasser 47 millions en 2018, ce qui représenterait
une hausse de plus de 16 millions. Si le nombre de millionnaires dans les
économies émergentes reste bien inférieur à celui des Etats-Unis (18,6
millions) ou de l’Europe (15,0 millions), il devrait néanmoins augmenter de
manière significative dans les années à venir. Le nombre de millionnaires dans
la région Asie-Pacifique devrait augmenter de 3,8 millions pour atteindre 9
millions d'ici 2018. En Chine, leur nombre pourrait presque doubler d'ici 2018,
pour s'élever à 2,1 millions. Le nombre de millionnaires devrait également
fortement augmenter en Amérique latine, pour atteindre près d'un million dans
cinq ans, avec en tête le Brésil (+186 000) et le Mexique (+87 000).
Jacques Attali: l´économie positive
Restaurer la priorité au long terme
Le règne de l’urgence caractérise l’économie actuelle et
domine la société dans son ensemble. Or, sans la prise en
compte du long terme, la vie de nos contemporains deviendra
un enfer.
L’économie positive vise à réorienter le capitalisme vers la
prise en compte des enjeux du long terme. L’altruisme envers
les générations futures y est un moteur plus puissant que l’individualisme
animant aujourd’hui l’économie de marché.
Beaucoup d’initiatives positives existent déjà, de l’entrepreneuriat
social à l’investissement socialement responsable, en
passant par la responsabilité sociale des entreprises ou encore
le commerce équitable et l’action de l’essentiel des services
publics. Elles demeurent toutefois encore trop anecdotiques :
l’économie positive suppose, pour réussir, un changement
d’échelle.
La crise actuelle s’explique justement très largement par le
caractère non positif de l’économie de marché : la domination du
court terme a envahi toutes ses sphères, et en premier lieu la
finance. Alors qu’elle avait pourtant comme fonction d’origine
terme (investissements), sa mission initiale a été largement
dévoyée dans de nombreux pays avec le mouvement de dérégulation,
de désintermédiation et d’informatisation amorcé il y a
une trentaine d’années. La finance est ainsi devenue un secteur
à part entière, en partie déconnecté du reste de l’économie, et
voulant trop souvent le dominer plutôt que le servir.
La dictature de l’urgence s’est ainsi répandue à toute l’économie
: les entreprises sont devenues l’outil qui doit générer un
rendement financier immédiat pour des actionnaires de plus en
plus exigeants, de plus en plus volatils et éphémères, en occultant
les autres parties prenantes de l’entreprise. Cette évolution
a fait perdre aux dirigeants d’entreprise la marge de manoeuvre
nécessaire pour construire un projet sur le long terme.
Au-delà de l’aspect purement économique, la crise est devenue
sociale et morale. Les inégalités engendrées par le système
ont conduit une majorité d’individus, poussés par le système
financier à vivre à crédit pour ne pas être exclus de la société
de consommation ; et beaucoup d’entre eux, surendettés, se
trouvent dans des situations dramatiques.
Si le système économique actuel n’est pas réorienté vers la
prise en compte du long terme, il sera impossible de relever les
défis, écologiques, technologiques, sociaux, politiques ou spirituels,
qui attendent le monde d’ici 2030. Des phénomènes irréversibles
auront été enclenchés, et le monde courra vers un
désordre propice au déréglement climatique, aux faillites d’États
et au développement de l’économie illégale et criminelle.
Un passage à une économie plus positive pourra aider à
résoudre la crise et à éviter ces désastres. L’un des prérequis est
de bâtir un capitalisme patient, à travers une finance positive,
qui retrouve son rôle de support de l’économie réelle. Plus
généralement, l’économie positive créera de la croissance, des
richesses et des emplois de haut niveau. De nombreuses études
démontrent que les entreprises aujourd’hui positives ne sont
pas moins efficaces et rentables que d’autres : au contraire, placer
le long terme au coeur de leur stratégie assure leur pérennité.
La transformation du système économique contemporain
en une économie plus positive créerait une dynamique susceptible
en particulier de sortir la France de la situation atone qui
nourrit l’impression actuelle d’enlisement sans fin.
Pour accomplir ce changement de paradigme, l’une des
conditions nécessaires est de pouvoir évaluer les progrès
accomplis ainsi que ceux qu’il reste à faire. C’est pourquoi le
présent rapport propose d’utiliser deux indicateurs nouveaux,
créés pour l’occasion : l’indicateur de positivité de l’économie
et le « Ease of Doing Positive Economy Index ».
L’indice de positivité de l’économie d’un pays a été construit
par ce groupe pour établir une photographie du degré actuel
de positivité de l’économie d’un pays. L’actualisation annuelle
de cet indicateur pourra permettre d’en suivre les progrès. La
croissance du PIB fait partie des 29 indicateurs qui constituent
cet indice. La France se classe aujourd’hui 19e parmi les 34 pays
de l’OCDE : cinquième puissance économique mondiale, elle
devrait au moins tenir ce même rang dans les classements relatifs
à l’économie positive.
En outre, l’économie positive ne pourra véritablement advenir
que si un pays adopte les réformes structurelles nécessaires
pour créer un environnement (réglementaire, fiscal) plus favorable
à son développement : cette volonté d’un pays d’aller vers
une économie plus positive est mesurée par un deuxième indicateur,
construit également spécifiquement à l’occasion du présent
rapport, le « Ease of Doing Positive Economy Index ».
Ces deux instruments de mesure créés, il nous faut désormais
agir. Vite. Fort. Le présent rapport met ainsi en avant
45 propositions destinées à faire advenir une économie plus
positive. Elles sont de deux types : des recommandations axées
spécifiquement sur l’économie et d’autres centrées sur la création
d’une société positive. Les propositions visent à ne plus
l’influence sur la stratégie de l’entreprise de ses multiples parties
prenantes devra donc être rééquilibrée en ce sens (proposition
n° 17).
Parmi les autres propositions piliers, certaines ont trait au
financement : la création d’un Fonds mondial d’économie positive
pourrait être proposée par la France au G8 ou G20 (proposition
n° 8). Cela suppose aussi de repenser l’architecture de
notre fiscalité autour des externalités positives ou négatives,
afin de valoriser ou de défavoriser certains comportements
(proposition n° 24).
Des réformes institutionnelles s’imposent également : le long
terme doit s’ancrer dans notre droit. Au niveau national, une
instance dédiée à la prise en compte des intérêts des générations
futures, qui pourrait s’appeler le Conseil du long terme,
pourrait être créée en France à partir de l’actuel Conseil économique,
social et environnemental (proposition n° 35). L’institutionnalisation
du long terme doit également trouver une
traduction internationale : il est proposé d’oeuvrer pour l’adoption
d’un grand texte international sur les responsabilités
universelles, définissant les devoirs des générations présentes
à l’égard des générations futures (proposition n° 37), ainsi que
pour la création d’un tribunal mondial de l’environnement
(proposition n° 38).
Enfin, l’éducation est essentielle pour former des citoyens
altruistes, écoresponsables, sensibles à la prise en compte de
l’intérêt des générations futures (proposition n° 29).
Dix autres propositions sont applicables rapidement, afin
d’enclencher la dynamique de l’économie positive dans les
douze prochains mois. Elles se répartissent en plusieurs catégories
: celles qui concernent au premier chef les entreprises
(intégrer l’innovation sociale dans le crédit impôt-recherche ; lancer
un programme d’identification et de structuration de pôles
territoriaux de coopération positive ; cartographier les politiques
qui permettent une responsabilité élargie des producteurs),
celles qui s’adressent aux consommateurs (rendre obligatoire
l’affichage positif pour permettre un choix éclairé des consommateurs)
; celles qui donnent un rôle clé à jouer à l’État en tant
que composante de la demande (agir par la commande
publique ; mettre en place les contrats de performance environnementale
et sociale en lieu et place des partenariats publicprivé)
; celles relatives à la finance (renforcer les possibilités de
financement participatif ; maîtriser le trading à haute fréquence) ;
enfin, celles qui visent à parier sur les secteurs d’avenir (démarrer
la transition énergétique ; s’engager dans le numérique).
Le règne de l’urgence caractérise l’économie actuelle et
domine la société dans son ensemble. Or, sans la prise en
compte du long terme, la vie de nos contemporains deviendra
un enfer.
L’économie positive vise à réorienter le capitalisme vers la
prise en compte des enjeux du long terme. L’altruisme envers
les générations futures y est un moteur plus puissant que l’individualisme
animant aujourd’hui l’économie de marché.
Beaucoup d’initiatives positives existent déjà, de l’entrepreneuriat
social à l’investissement socialement responsable, en
passant par la responsabilité sociale des entreprises ou encore
le commerce équitable et l’action de l’essentiel des services
publics. Elles demeurent toutefois encore trop anecdotiques :
l’économie positive suppose, pour réussir, un changement
d’échelle.
La crise actuelle s’explique justement très largement par le
caractère non positif de l’économie de marché : la domination du
court terme a envahi toutes ses sphères, et en premier lieu la
finance. Alors qu’elle avait pourtant comme fonction d’origine
terme (investissements), sa mission initiale a été largement
dévoyée dans de nombreux pays avec le mouvement de dérégulation,
de désintermédiation et d’informatisation amorcé il y a
une trentaine d’années. La finance est ainsi devenue un secteur
à part entière, en partie déconnecté du reste de l’économie, et
voulant trop souvent le dominer plutôt que le servir.
La dictature de l’urgence s’est ainsi répandue à toute l’économie
: les entreprises sont devenues l’outil qui doit générer un
rendement financier immédiat pour des actionnaires de plus en
plus exigeants, de plus en plus volatils et éphémères, en occultant
les autres parties prenantes de l’entreprise. Cette évolution
a fait perdre aux dirigeants d’entreprise la marge de manoeuvre
nécessaire pour construire un projet sur le long terme.
Au-delà de l’aspect purement économique, la crise est devenue
sociale et morale. Les inégalités engendrées par le système
ont conduit une majorité d’individus, poussés par le système
financier à vivre à crédit pour ne pas être exclus de la société
de consommation ; et beaucoup d’entre eux, surendettés, se
trouvent dans des situations dramatiques.
Si le système économique actuel n’est pas réorienté vers la
prise en compte du long terme, il sera impossible de relever les
défis, écologiques, technologiques, sociaux, politiques ou spirituels,
qui attendent le monde d’ici 2030. Des phénomènes irréversibles
auront été enclenchés, et le monde courra vers un
désordre propice au déréglement climatique, aux faillites d’États
et au développement de l’économie illégale et criminelle.
Un passage à une économie plus positive pourra aider à
résoudre la crise et à éviter ces désastres. L’un des prérequis est
de bâtir un capitalisme patient, à travers une finance positive,
qui retrouve son rôle de support de l’économie réelle. Plus
généralement, l’économie positive créera de la croissance, des
richesses et des emplois de haut niveau. De nombreuses études
démontrent que les entreprises aujourd’hui positives ne sont
pas moins efficaces et rentables que d’autres : au contraire, placer
le long terme au coeur de leur stratégie assure leur pérennité.
La transformation du système économique contemporain
en une économie plus positive créerait une dynamique susceptible
en particulier de sortir la France de la situation atone qui
nourrit l’impression actuelle d’enlisement sans fin.
Pour accomplir ce changement de paradigme, l’une des
conditions nécessaires est de pouvoir évaluer les progrès
accomplis ainsi que ceux qu’il reste à faire. C’est pourquoi le
présent rapport propose d’utiliser deux indicateurs nouveaux,
créés pour l’occasion : l’indicateur de positivité de l’économie
et le « Ease of Doing Positive Economy Index ».
L’indice de positivité de l’économie d’un pays a été construit
par ce groupe pour établir une photographie du degré actuel
de positivité de l’économie d’un pays. L’actualisation annuelle
de cet indicateur pourra permettre d’en suivre les progrès. La
croissance du PIB fait partie des 29 indicateurs qui constituent
cet indice. La France se classe aujourd’hui 19e parmi les 34 pays
de l’OCDE : cinquième puissance économique mondiale, elle
devrait au moins tenir ce même rang dans les classements relatifs
à l’économie positive.
En outre, l’économie positive ne pourra véritablement advenir
que si un pays adopte les réformes structurelles nécessaires
pour créer un environnement (réglementaire, fiscal) plus favorable
à son développement : cette volonté d’un pays d’aller vers
une économie plus positive est mesurée par un deuxième indicateur,
construit également spécifiquement à l’occasion du présent
rapport, le « Ease of Doing Positive Economy Index ».
Ces deux instruments de mesure créés, il nous faut désormais
agir. Vite. Fort. Le présent rapport met ainsi en avant
45 propositions destinées à faire advenir une économie plus
positive. Elles sont de deux types : des recommandations axées
spécifiquement sur l’économie et d’autres centrées sur la création
d’une société positive. Les propositions visent à ne plus
l’influence sur la stratégie de l’entreprise de ses multiples parties
prenantes devra donc être rééquilibrée en ce sens (proposition
n° 17).
Parmi les autres propositions piliers, certaines ont trait au
financement : la création d’un Fonds mondial d’économie positive
pourrait être proposée par la France au G8 ou G20 (proposition
n° 8). Cela suppose aussi de repenser l’architecture de
notre fiscalité autour des externalités positives ou négatives,
afin de valoriser ou de défavoriser certains comportements
(proposition n° 24).
Des réformes institutionnelles s’imposent également : le long
terme doit s’ancrer dans notre droit. Au niveau national, une
instance dédiée à la prise en compte des intérêts des générations
futures, qui pourrait s’appeler le Conseil du long terme,
pourrait être créée en France à partir de l’actuel Conseil économique,
social et environnemental (proposition n° 35). L’institutionnalisation
du long terme doit également trouver une
traduction internationale : il est proposé d’oeuvrer pour l’adoption
d’un grand texte international sur les responsabilités
universelles, définissant les devoirs des générations présentes
à l’égard des générations futures (proposition n° 37), ainsi que
pour la création d’un tribunal mondial de l’environnement
(proposition n° 38).
Enfin, l’éducation est essentielle pour former des citoyens
altruistes, écoresponsables, sensibles à la prise en compte de
l’intérêt des générations futures (proposition n° 29).
Dix autres propositions sont applicables rapidement, afin
d’enclencher la dynamique de l’économie positive dans les
douze prochains mois. Elles se répartissent en plusieurs catégories
: celles qui concernent au premier chef les entreprises
(intégrer l’innovation sociale dans le crédit impôt-recherche ; lancer
un programme d’identification et de structuration de pôles
territoriaux de coopération positive ; cartographier les politiques
qui permettent une responsabilité élargie des producteurs),
celles qui s’adressent aux consommateurs (rendre obligatoire
l’affichage positif pour permettre un choix éclairé des consommateurs)
; celles qui donnent un rôle clé à jouer à l’État en tant
que composante de la demande (agir par la commande
publique ; mettre en place les contrats de performance environnementale
et sociale en lieu et place des partenariats publicprivé)
; celles relatives à la finance (renforcer les possibilités de
financement participatif ; maîtriser le trading à haute fréquence) ;
enfin, celles qui visent à parier sur les secteurs d’avenir (démarrer
la transition énergétique ; s’engager dans le numérique).
sábado, 16 de noviembre de 2013
Advanced countries
A simple statistic illustrates the point: in 2007, the advanced countries accounted for almost three-quarters of the G20's combined GDP. By 2012, their share had fallen to 63%. The combination of growth differentials and high oil and raw-materials prices has resulted in a massive shift in the distribution of world income.
miércoles, 13 de noviembre de 2013
Inseguridad en Latinoamerica
http://www.infobae.com/2013/11/13/1523374-america-latina-la-region-mas-insegura-del-mundo
ANVISA Brasil: Saneantes e Cosméticos têm novos regulamentos de Boas Práticas
8 de noviembre de 2013
Novos regulamentos de Boas Práticas de Fabricação para Saneantes - RDC nº 47, de 25 de outubro de 2013 - e para produtos de Higiene Pessoal, Cosméticos - e RDC nº 48, de 25 de outubro de 2013 estão em vigor.
As normas, publicadas no DOU nº 209, de 28 de outubro de 2013, foram alinhadas a outras normas da Anvisa, e ao ordenamento jurídico do Mercosul . Com a publicação foram revogadas as Portarias 327/97 e 348/97, anteriores a criação da Agência.
Os novos regulamentos, além de modernizarem as normas existentes, mudaram a lógica de inspeção ao reorganizarem os tópicos a serem abordados e porem fim ao roteiro de inspeção. O foco é a avaliação do risco e o fortalecimento do gerenciamento da qualidade.
O objetivo do novo regulamento de saneantes é normatizar a fabricação, de modo que os fatores humanos, técnicos e administrativos (da fabricação), que podem ter influência na qualidade dos mesmos, sejam eficazmente controlados, visando prevenir, reduzir e eliminar qualquer deficiência na qualidade dos mesmos, que podem afetar negativamente a saúde e segurança do usuário.
Cosméticos
Já a RDC 48/2013, estabelece os procedimentos e as práticas que os fabricantes de cosméticos em geral devem aplicar para assegurar que as instalações, métodos, processos, sistemas e controles usados para a fabricação de produtos de higiene pessoal, cosméticos e perfumes sejam adequados de modo a garantir qualidade desses produtos.
As empresas fabricantes de Saneantes e Cosméticos têm o prazo de um ano para se adequar a norma: elaborar todos os protocolos e outros documentos necessários para a validação de limpeza, metodologia analítica, sistemas informatizados e sistema de água de processo que já se encontrem instalados.
O descumprimento das disposições contidas nestas Resoluções e nos regulamentos por elas aprovados, como expressos nas RDCs, constituem infração sanitária, nos termos da Lei n. 6.437, de 20 de agosto de 1977, sem prejuízo das responsabilidades civil, administrativa e penal cabíveis.
Confira as resoluções:
RDC 47/2013
RDC 48/2013
Novos regulamentos de Boas Práticas de Fabricação para Saneantes - RDC nº 47, de 25 de outubro de 2013 - e para produtos de Higiene Pessoal, Cosméticos - e RDC nº 48, de 25 de outubro de 2013 estão em vigor.
As normas, publicadas no DOU nº 209, de 28 de outubro de 2013, foram alinhadas a outras normas da Anvisa, e ao ordenamento jurídico do Mercosul . Com a publicação foram revogadas as Portarias 327/97 e 348/97, anteriores a criação da Agência.
Os novos regulamentos, além de modernizarem as normas existentes, mudaram a lógica de inspeção ao reorganizarem os tópicos a serem abordados e porem fim ao roteiro de inspeção. O foco é a avaliação do risco e o fortalecimento do gerenciamento da qualidade.
O objetivo do novo regulamento de saneantes é normatizar a fabricação, de modo que os fatores humanos, técnicos e administrativos (da fabricação), que podem ter influência na qualidade dos mesmos, sejam eficazmente controlados, visando prevenir, reduzir e eliminar qualquer deficiência na qualidade dos mesmos, que podem afetar negativamente a saúde e segurança do usuário.
Cosméticos
Já a RDC 48/2013, estabelece os procedimentos e as práticas que os fabricantes de cosméticos em geral devem aplicar para assegurar que as instalações, métodos, processos, sistemas e controles usados para a fabricação de produtos de higiene pessoal, cosméticos e perfumes sejam adequados de modo a garantir qualidade desses produtos.
As empresas fabricantes de Saneantes e Cosméticos têm o prazo de um ano para se adequar a norma: elaborar todos os protocolos e outros documentos necessários para a validação de limpeza, metodologia analítica, sistemas informatizados e sistema de água de processo que já se encontrem instalados.
O descumprimento das disposições contidas nestas Resoluções e nos regulamentos por elas aprovados, como expressos nas RDCs, constituem infração sanitária, nos termos da Lei n. 6.437, de 20 de agosto de 1977, sem prejuízo das responsabilidades civil, administrativa e penal cabíveis.
Confira as resoluções:
RDC 47/2013
RDC 48/2013
lunes, 4 de noviembre de 2013
Brazil: Food regulations issues
Brazil is a member of the World Trade Organization (WTO) and therefore has made commitments to subscribe to the Sanitary and Phytosanitary (SPS) Agreement and to Codex Alimentarius (CODEX) principles. Food regulations issues at the federal level are contained in various types of legal documents and, in order to be implemented must be published in Brazil’s Diario Oficial (similar to the U.S. Federal Register).
Brazil has three levels of government: federal, state and municipal. Legally, federal regulations must be followed when there are conflicts between federal, state and municipal legislation, or between regulations established by different Ministries at the federal level. State and municipal governments also have the authority to regulate and enforce state and municipal laws.
In the federal government, numerous agencies and several Ministries share jurisdiction for ensuring the safety of the Brazilian food supply and regulating imports of agricultural commodities and foods. However, the Ministry of Agriculture, Livestock, and Food Supply (MAPA) and the Ministry of Health (MS) - through its National Agency of Sanitary Surveillance (ANVISA) - are the primary regulators of agricultural products. MAPA oversees and enforces a large number of regulations pertaining to production, marketing, import and export of animal origin products, fresh fruit and vegetables, alcoholic beverages, juices, grains, seeds, and animal feed (including pet food). ANVISA enforces most of the regulations regarding processed food products. MAPA and ANVISA’s regulations may be consulted on-line. On MAPA’s website (www.agricultura.gov.br) the search tool SISLEGIS makes available the current regulations on products that are under MAPA’s supervision. A similar search tool called VISALEGIS can be found at ANVISA’s website.
Brazil has three levels of government: federal, state and municipal. Legally, federal regulations must be followed when there are conflicts between federal, state and municipal legislation, or between regulations established by different Ministries at the federal level. State and municipal governments also have the authority to regulate and enforce state and municipal laws.
In the federal government, numerous agencies and several Ministries share jurisdiction for ensuring the safety of the Brazilian food supply and regulating imports of agricultural commodities and foods. However, the Ministry of Agriculture, Livestock, and Food Supply (MAPA) and the Ministry of Health (MS) - through its National Agency of Sanitary Surveillance (ANVISA) - are the primary regulators of agricultural products. MAPA oversees and enforces a large number of regulations pertaining to production, marketing, import and export of animal origin products, fresh fruit and vegetables, alcoholic beverages, juices, grains, seeds, and animal feed (including pet food). ANVISA enforces most of the regulations regarding processed food products. MAPA and ANVISA’s regulations may be consulted on-line. On MAPA’s website (www.agricultura.gov.br) the search tool SISLEGIS makes available the current regulations on products that are under MAPA’s supervision. A similar search tool called VISALEGIS can be found at ANVISA’s website.
Regulation of Food Supplements in Latin America
Authorities from Bolivia, Colombia, Ecuador, Paraguay and Peru met with scientific experts and experts in regulatory policies on Sep. 4 and 5 in Bogota, Colombia, in order to address the regulatory changes and the scientific trends currently underway on food supplements and its impact on markets. Dr. Diana Liévano opened the event and highlighted the opportunity of sharing information on dietary supplements in the region. Speakers presented and debated about the main regulatory developments on the different countries. Topics on the agenda ranged from food supplements definition, safety on the use of ingredients in supplements and criteria to establish maximum levels of vitamins and minerals, to regulation and substantiation on the use of health and nutrition claims, adequate good manufacturing practices requirements for food supplements and systems for market access and monitoring of supplements on the market. The following regulators participated at the event: Dr. Diana Liévano, Coordinator of Sanitary Registrations of Phyto-therapeutic Products, Homeopathic Medicines and Dietary Supplements, INVIMA, Colombia; Ms. Gabriela Ferreira Silvero, Technical Assessor, Department of Evaluation and Registration, National Agency for Sanitary Surveillance, Paraguay; Eng. Katty Rojas, Head on Food Safety, National Service on Agricultural Health and Food Safety (SENASAG), Ministry of Agriculture, Bolivia; Noemí La Torre Paredes, Specialist on Health Evaluation of Dietetic Products and Sweeteners, General Directorate of Drugs (DIGEMID), Peru; Dr. Veronia Flor Terán, Food Safety Analyst, National Directorate Health Surveillance and Control, Ministry of Public Health, Ecuador; and Jannet Arismendi from the Ministry of Health of Colombia. “This event was a unique platform that brought together authorities, academics and representatives from the supplements sector and during which the basis to continue with the cooperation and organization of scientific technical events with the aim of continuing the work on key issues around food supplements regulations have been set, and where ALANUR and IADSA are positioned as sources of information and guidance on the dietary supplements framework,” said David Pineda Ereño, Regulatory Affairs Director of IADSA. “We are delighted to offer this space for communication and exchange of information on regulatory and scientific issues around food supplements, which promotes the cooperation in the work in the region,” said Dr. Tatiana Pires, Chair of ALANUR. “ALANUR, with the support of IADSA, will continue working on the approximation of criteria to serve as a reference point for food supplement regulations across Latin America,” she added. In this sense, ALANUR and IADSA will continue providing technical support to authorities, and also through the organization of events that permit the flow of information for building responsible practices through the promotion of science, quality and safety in relation to food supplements. -
See more at: http://www.nutraceuticalsworld.com/contents/view_breaking-news/2013-10-07/regulation-of-food-supplements-gains-momentum-in-latin-america/#sthash.D9t622No.dpuf
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